Vendredi 18 Décembre 2009
Développer une nouvelle forme d’intelligence
Pourquoi les équipes dirigeantes devraient elles se sentir responsables de la création d’une véritable culture « verte » au sein de leurs entreprises ?
Pourquoi mettre en œuvre de nouvelles dynamiques, de nouveaux critères de performance, de nouveaux reflex au quotidien, pour développer une nouvelle ressource : « L’Intelligence Ecologique » et la transformer en avantage concurrentiel.
Il y a de nombreuses raisons. Certaines sont fondées sur une forme d’altruisme, d’autres sont purement liées à la recherche de compétitivité.
Une démarche collective
Peu importe la motivation, l’essentiel est de mettre en route une démarche collective pour sensibiliser, mobiliser et impliquer tous les acteurs de l’entreprise. C’est en fait une nouvelle dynamique « transversale », qui est partagée à tous les niveaux de l’entreprise, qui fédère et donne du sens au travail quotidien, de l’opérateur aux dirigeants.
Elle peut devenir une chance extraordinaire pour l’entreprise de traiter ce que l’on appelle le risque psychosocial ou la souffrance au travail.
Les premières statistiques disponibles montrent que la satisfaction au travail est 25% supérieure dans une entreprise dite « verte », sans parler de la productivité qui serait de 10% supérieure.
Le sujet fait désormais partie des réflexions des comités exécutifs, mais il est souvent perçu comme une contrainte supplémentaire.
Ils changeraient de point de vue s’ils savaient que plus de 50% des collaborateurs souhaitent que leurs entreprises soit plus responsable (enquête ADECCO aux Etats-Unis en 2007). La génération Y considère que la protection de l’environnement est une de leurs trois premières préoccupations. Ils recherchent un emploi qui donne un sens à leur engagement, autre que la rémunération de leurs efforts.
Démarche Top Down ou Botton up ?
La plupart des grands groupes commencent la démarche en créant une direction du Développement Durable. Tout va bien, tant qu’elle s’occupe des aspects matériels tels que construire des sites qui répondent aux nouvelles normes, faire respecter la réglementation européenne, faire évoluer certains matériaux contenus dans les produits fabriqués. C’est une approche Top Down.
Mais lorsqu’il s’agit d’obtenir un engagement sans réserve des managers, intégrer de nouveaux critères de performance dans la culture managériale, former les collaborateurs, ces directions se sentent souvent marginalisées, sans réel pouvoir managérial et impact sur les process.
Notre expérience de la conduite du changement nous conduit à proposer à nos clients-partenaires une approche de type Botton up. Il s’agit de concevoir des programmes de communication interne pour informer, sensibiliser, mobiliser, et engager chacun des membres de l’entreprise dans la création d’une entreprise verte.
Quelques exemples : L’organisation de journées verte, La mise en œuvre de challenges interdépartementaux sur la maîtrise de l’énergie, la mise en valeur d’exploits à tous les niveaux de la hiérarchie, l’organisation de sessions de Teambuilding sur le thème de la RSE, l’utilisation d’intranet.
Le résultat visé : Chaque employé a compris la magnitude des enjeux, le bénéfice à moyen terme pour lui et les autres, a envie de jouer le jeu et commence à adopter de nouveaux reflex.
Il ne s’agit pas d’une démarche d’information mais de sensibilisation, d’adhésion et d’action de chacun.
C’est ce que nous appelons : Créer une « Intelligence écologique ».
Nos simulations, programmes d’accompagnement du changement sont des outils très puissants pour favoriser l’émergence d’une nouvelle dynamique d’entreprise puissante et « durable ».
Pourquoi les équipes dirigeantes devraient elles se sentir responsables de la création d’une véritable culture « verte » au sein de leurs entreprises ?
Pourquoi mettre en œuvre de nouvelles dynamiques, de nouveaux critères de performance, de nouveaux reflex au quotidien, pour développer une nouvelle ressource : « L’Intelligence Ecologique » et la transformer en avantage concurrentiel.
Il y a de nombreuses raisons. Certaines sont fondées sur une forme d’altruisme, d’autres sont purement liées à la recherche de compétitivité.
Une démarche collective
Peu importe la motivation, l’essentiel est de mettre en route une démarche collective pour sensibiliser, mobiliser et impliquer tous les acteurs de l’entreprise. C’est en fait une nouvelle dynamique « transversale », qui est partagée à tous les niveaux de l’entreprise, qui fédère et donne du sens au travail quotidien, de l’opérateur aux dirigeants.
Elle peut devenir une chance extraordinaire pour l’entreprise de traiter ce que l’on appelle le risque psychosocial ou la souffrance au travail.
Les premières statistiques disponibles montrent que la satisfaction au travail est 25% supérieure dans une entreprise dite « verte », sans parler de la productivité qui serait de 10% supérieure.
Le sujet fait désormais partie des réflexions des comités exécutifs, mais il est souvent perçu comme une contrainte supplémentaire.
Ils changeraient de point de vue s’ils savaient que plus de 50% des collaborateurs souhaitent que leurs entreprises soit plus responsable (enquête ADECCO aux Etats-Unis en 2007). La génération Y considère que la protection de l’environnement est une de leurs trois premières préoccupations. Ils recherchent un emploi qui donne un sens à leur engagement, autre que la rémunération de leurs efforts.
Démarche Top Down ou Botton up ?
La plupart des grands groupes commencent la démarche en créant une direction du Développement Durable. Tout va bien, tant qu’elle s’occupe des aspects matériels tels que construire des sites qui répondent aux nouvelles normes, faire respecter la réglementation européenne, faire évoluer certains matériaux contenus dans les produits fabriqués. C’est une approche Top Down.
Mais lorsqu’il s’agit d’obtenir un engagement sans réserve des managers, intégrer de nouveaux critères de performance dans la culture managériale, former les collaborateurs, ces directions se sentent souvent marginalisées, sans réel pouvoir managérial et impact sur les process.
Notre expérience de la conduite du changement nous conduit à proposer à nos clients-partenaires une approche de type Botton up. Il s’agit de concevoir des programmes de communication interne pour informer, sensibiliser, mobiliser, et engager chacun des membres de l’entreprise dans la création d’une entreprise verte.
Quelques exemples : L’organisation de journées verte, La mise en œuvre de challenges interdépartementaux sur la maîtrise de l’énergie, la mise en valeur d’exploits à tous les niveaux de la hiérarchie, l’organisation de sessions de Teambuilding sur le thème de la RSE, l’utilisation d’intranet.
Le résultat visé : Chaque employé a compris la magnitude des enjeux, le bénéfice à moyen terme pour lui et les autres, a envie de jouer le jeu et commence à adopter de nouveaux reflex.
Il ne s’agit pas d’une démarche d’information mais de sensibilisation, d’adhésion et d’action de chacun.
C’est ce que nous appelons : Créer une « Intelligence écologique ».
Nos simulations, programmes d’accompagnement du changement sont des outils très puissants pour favoriser l’émergence d’une nouvelle dynamique d’entreprise puissante et « durable ».
Rédigé par Bergeaud Guy le Vendredi 18 Décembre 2009 à 11:53
Team Building
Guy Bergeaud
Bergeaud Guy
Spécialiste du Team Building et du Team Learning en france, Guy Bergeaud est coach depuis plus de 15 ans, après une longue carrière de top manager dans l'automobile.
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